SURDITE ; REPRESENTATION SOCIALE ; PRISE EN CHARGE ; COMMUNICATION ; FORMATION ; COLLABORATION ; CULTURE ; RESEAU DE SOINS Résumé :Durant notre formation infirmière, nous sommes amenés à vivre des situations
nécessitant l’adaptation : c’est le cas avec la prise en charge d’un patient sourd, situation vécue pour laquelle j’ai eu un grand intérêt. Mais comment s’adapter lorsqu’on a des représentations ?
C’est pourquoi ce mémoire de fin d’études cherche à questionner les représentations soignantes et leur influence sur le prendre soin chez le patient sourd. La recherche conceptuelle traite dans un premier temps de la surdité dans un souci de compréhension de la patientèle ciblée en s’intéressant à l’histoire de ce public, à la culture sourde mais aussi aux spécificités de communication, en passant par le prendre soin et la
réflexion sur ses représentations dans le contexte de soin actuel.
Afin de rendre compte de cette prise en charge, j’ai mené une succession d’entretiens semi-directifs auprès de quatre professionnelles infirmières en exercice dans différents services et le retour d’expérience de deux patientes sourdes. L’analyse montre que les représentations sont différentes selon notre sensibilité et notre intérêt porté à la culture sourde, mais surtout que notre formation et l’information sur le travail de réseau
ont un impact direct sur notre qualité du prendre soin. Des représentations, se pose alors la question de la formation et surtout de l’utilisation des
réseaux de soin existants telles que les unités pour patients sourds. L’analyse ouvrira donc sur ce questionnement : Dans quelle mesure la connaissance des réseaux de soins va être aidante dans le prendre soin du patient sourd ?
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Acceptation des soins chez un patient atteint de troubles cognitifs
Croix-Rouge française - Institut Saint-Martin,2017 34 p. Afficher / Masquer
CONSENTEMENT AUX SOINS ; TROUBLE COGNITIF ; QUALITE DES SOINS ; ALZHEIMER (Maladie de) ; COMMUNICATION ; INFIRMIERE ; RELATION SOIGNANT/SOIGNE ; TRAVAIL D'EQUIPE Résumé :Ce travail de fin d’études porte sur l’acceptation des soins des personnes atteintes de troubles cognitifs, en prenant en exemple la maladie d’Alzheimer. Des difficultés sont présentes lors de la prise en charge de ces personnes, comme des difficultés de communication ou du recueil du consentement aux soins. Ceci m’a amenée à me demander : En quoi une prise en charge infirmière de qualité peut-elle favoriser l’acceptation aux soins d’un patient ayant des troubles cognitifs ?
Des recherches m’ont permis d’élaborer un cadre théorique. J’ai pu compléter et comparer ces apports par la réalisation d’entretiens semi-directifs auprès de quatre infirmiers et d’une cadre de santé.
Les résultats de l’enquête m’ont montré que le soignant se doit d’aborder le patient avec une connaissance de la pathologie, un savoir-être relationnel et de travailler en équipe. Ces éléments constituent une prise en charge de qualité pour les soignants. L’approche soignante est apparue primordiale à l’acceptation des soins du patient. De plus, une nécessité de formation sur cette approche et sur la maladie d’Alzheimer se sont dégagées.
La réflexion menée à partir de ces éléments me pose une nouvelle question ciblée sur la formation des soignants à une approche adaptée à la personne atteinte de troubles cognitifs dans le but d’une meilleure acceptation des soins : En quoi une formation sur l’approche soignante des personnes ayant des troubles cognitifs peut-elle faire basculer le refus de soins vers son acceptation par le patient ?
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Accompagner l'aidant dans l'acceptation des choix de fin de vie du résident
Croix-Rouge française - Institut Saint-Martin,2017 38 p. Afficher / Masquer
RELATION D'AIDE ; PROJET ; ACCOMPAGNEMENT ; AIDANT ; FIN DE VIE ; INFIRMIERE ; PERSONNE AGEE ; ETABLISSEMENT D'HEBERGEMENT POUR PERSONNE AGEE DEPENDANTE - EHPAD Résumé :L’origine de cette recherche se base sur un questionnement à partir d’une expérience vécue lors d’un stage. Ce travail propose d’étudier la relation d’aide instaurée par l’infirmière en EHPAD pour permettre à un aidant naturel d’accepter les choix thérapeutiques de fin de vie de la personne soignée afin de respecter son projet d’accompagnement.
Pour trouver des réponses à cette problématique, dans un premier temps, des recherches théoriques ont été effectuées pour ensuite élargir par une analyse pratique. Des entretiens semi-directifs auprès de quatre infirmières en maison de retraite, un médecin coordinateur et une psychologue, ont été effectués. Une analyse des réponses de ces professionnels a été réalisée. Elle a permis de confronter le cadre théorique avec la réalité sur le terrain.
Les propositions émises par les personnes interrogées ont évoqué l’importance de la rencontre de l’aidant pour qu’il adhère au choix du résident, mais aussi l’importance du travail en collaboration de l’équipe soignante avec l’aidant afin d’accompagner au mieux le résident en fin de vie. Les recherches effectuées ont abouti à un élargissement de la question de départ vers une question centrale de recherche : En quoi les difficultés d’un soignant à accepter les choix thérapeutiques du résident en fin de vie entravent le respect du projet d’accompagnement de celui-ci ?
En conclusion, il est nécessaire, dans ce type d’établissement, de créer une cohésion d’équipe, en adéquation avec l’aidant, afin d’accompagner au mieux le résident en fin de vie. La fin de vie est une réelle souffrance pour l’aidant. C’est pourquoi l’accompagnement de ce dernier est un enjeu essentiel.
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Travail de fin d'étudesSupport :Cédérom FANJAS Karine
"Accompagner quelqu'un ce n'est pas le précéder ..."
Institut Saint-Martin,2012 25 p. Afficher / Masquer
RELATION SOIGNANT/SOIGNE ; BESOIN ; FIN DE VIE ; SOUFFRANCE ; SOIN PALLIATIF Résumé :Les progrès de la médecine, la prolongation de la vie, la chronicisation de
certaines pathologies renvoient à des questions essentielles sur la qualité de la fin de vie. Les situations de fin de vie sont parfois bouleversantes et interrogent les soignants quant à la qualité de la prise en charge et particulièrement en services de soins généraux.
Afin d’identifier et satisfaire les besoins des patients en fin de vie, de faire valoir leur droit il est indispensable au soignant d’établir une relation de confiance avec celui-ci. Les besoins des patients sont communs à tous mais sont différents selon la pathologie, l’individu, son vécu et ses valeurs. Cela nécessite des compétences spécifiques et une approche particulière alliant respect, écoute, empathie et authenticité. Aussi, la relation soignant-soigné possède ses limites qu’elles soient propres aux deux entités ou bien extérieures à celles-ci.[...]
Croix-Rouge française - Institut Saint-Martin,2014 32 p. Afficher / Masquer
REPRESENTATION ; DOULEUR ; INFIRMIERE Résumé :La prise en charge de la douleur est un sujet, qui durant mes trois années d’études m’a longuement interrogé. J’ai donc fait le choix de traiter ce thème et plus précisément l’implication de nos propres représentations lors de la prise en charge de la douleur d’un patient.
Ce mémoire répond à la question suivante: En quoi les représentations du professionnel infirmier viennent-elles impacter la prise en charge de la douleur d’un patient ?
Dans un premier temps, un travail de recherche théorique a été nécessaire. Dans un second temps, j’ai interviewé cinq infirmières de services différents sur leurs visions de la prise en charge de la douleur, leurs ressentis et leurs pratiques. Il ressort des entretiens que prendre en charge la douleur d’un patient avec neutralité et humilité demande d’occulter cette partie de nous-mêmes qui vient juger l’autre, afin de recevoir cette plainte douloureuse sans interprétation.
Cependant, occulter ce qui nous construit est difficilement concevable. Je me demande alors pourquoi ne pas remettre en question la prise en charge de la douleur, plus particulièrement les moyens mis en oeuvre pour évaluer et soulager la douleur. Ainsi, le thème que j’aimerais approfondir serait : Quels moyens les professionnels de santé peuvent-ils mettre en oeuvre pour évaluer et soulager la plainte douloureuse d’un patient sans l’altérer ?
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Travail de fin d'étudesTravail de fin d'études Support :Cédérom DURAND Marion
Ados et cancer ; la difficulté du corps médical à soigner ces jeunes adultes
A la recherche de la "juste distance" dans la relation de soin
Croix-Rouge française - Institut Saint-Martin,2017 47 p. Afficher / Masquer
DISTANCE ; RELATION SOIGNANT/SOIGNE ; PERSONNE AGEE ; ETABLISSEMENT D'HEBERGEMENT POUR PERSONNE AGEE DEPENDANTE - EHPAD ; EMOTION ; AFFECTIVITE ; VETEMENT ; POSTURE Résumé :Le but de ce travail était de trouver quelle distance professionnelle devait adopter les soignants dans la relation de soin avec les personnes âgées en Etablissement d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes (EHPAD) à partir d’une situation vécue en stage, qui m’a mise en difficulté. Dans un premier temps, j’ai effectué des recherches théoriques autour de la relation soignant-soigné, des émotions, de l’affect mais aussi de la distance professionnelle. Dans un second temps, j’ai effectué des entretiens semi-directifs avec cinq infirmiers travaillant en EHPAD afin de confronter leurs données à celles de mon cadre théorique, dans le but de confronter théorie et réalité du terrain. D’après les professionnels, il est difficile en EHPAD d’instaurer une distance professionnelle car il s’agit d’un lieu de vie dans lequel les soignants connaissent les résidents sur le bout des doigts. Bien que mes recherches aient montré qu’à travers la relation soignant-soigné, le soignant se devait de trouver une juste distance professionnelle afin de ne pas se retrouver confronté à ses affects. Comme il semble difficile pour la plupart des professionnels d’instaurer cette « juste distance », ces derniers pensent qu’il est important pour le soignant de se « protéger ». En effet, ils pensent que l’utilisation du vouvoiement et le port de la blouse permettent au soignant d’instaurer une certaine distance avec le patient. Il serait intéressant d’effectuer une autre enquête avec un panel de professionnels plus important afin de confirmer ou non cette hypothèse.
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Croix-Rouge française - Institut Saint-Martin,2014 33 p. Afficher / Masquer
DOMICILE ; PSYCHOSE ; DELIRE ; INFIRMIERE ; POSTURE ; PRISE EN CHARGE Résumé :Lors d’un stage, je me suis rendue pour la première fois chez un patient en phase de délire atteint de psychose chronique. C’est à partir de mon vécu dans cette situation que j’ai décidé d’approfondir le sujet. La problématique posée est la suivante : Quel positionnement infirmier adopter face à un patient psychotique chronique délirant, dans le cadre d’une prise en charge à domicile ?
J’ai fait des recherches théoriques pour conforter et affiner mon questionnement. Les apports bibliographiques ont permis de définir les concepts de ma question. J’ai ensuite mis en place une méthodologie pour l’enquête. L’outil est un entretien semi-directif, composé de questions ouvertes et fermées, pour permettre un échange le plus riche possible. La population interrogée recouvre tous les professionnels de santé concernés par la question. Ainsi, j’ai rencontré un psychiatre, une infirmière de centre de santé général, une exerçant en Centre Médico-Psychologique et deux infirmières libérales.
En résulte toute la complexité des pathologies psychotiques, la peur et l’impuissance parfois ressenties, les difficultés à trouver le juste positionnement et la nécessité de pouvoir s’appuyer sur des éléments, personnes ressources, et expériences pour avancer. On peut ainsi se questionner sur comment améliorer les connaissances et les éléments ressources à disposition des professionnels dans ces situations.
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Travail de fin d'étudesMémoire Support :Cédérom CAUCHY Lucie
ALLIANCE THERAPEUTIQUE ; ANOREXIE ; ADOLESCENT ; CONSENTEMENT AUX SOINS Résumé :L’anorexie mentale est une pathologie complexe à prendre en charge, en particulier à l’adolescence. L’étude de ce travail s’est portée sur la question suivante : « Quelle est la place de l’alliance thérapeutique dans l’adhésion aux soins pour une adolescente atteinte d’anorexie mentale ? »
Afin de traiter ce sujet, nous avons, dans un premier temps, effectué différentes recherches sur l’anorexie mentale, l’adolescence et l’alliance thérapeutique qui, ensemble, ont constitué le cadre théorique. Dans un second temps, nous avons réalisé une enquête de terrain auprès de trois
infirmiers et un psychologue, spécialisés dans le domaine. Ensuite, nous avons pu confronter les données recueillies lors des entretiens, à la théorie.
L’analyse a montré que l’alliance thérapeutique tient une place primordiale dans les soins de l’adolescente. Les professionnels ont, de plus, mis en avant l’importance de la pluridisciplinarité dans cette prise en charge qu’ils ont qualifiée de « complexe ». Ils ont également évoqué la notion de « relation de confiance », essentielle selon eux. Grâce à cette confrontation, nous avons pu formuler une question de recherche à ce travail qui est : « En quoi la confiance d’une adolescente atteinte d’anorexie mentale envers l’équipe pluridisciplinaire favorise-t-elle le partenariat au sein de sa prise en charge ? »
Cette question de recherche mène à une nouvelle étude qui complétera et apportera des éléments nouveaux à ce travail.
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Croix-Rouge française - Institut Saint-Martin,2015 80 p. Afficher / Masquer
RISQUE ; ERREUR ; COMPETENCE ; RESPONSABILITE ; INFIRMIERE ; MEDICAMENT ; PHARMACOLOGIE Résumé :Le risque d'erreur médicamenteuse est indissociable du métier d'infirmière. En effet, il peut survenir à différentes étapes du circuit du médicament. L'importance de sa prise en considération nous renvoie à la problématique suivante :
En quoi, la prise de conscience de sa responsabilité devant un risque d'erreur médicamenteuse contribue-t-il à la construction des compétences de l'infirmier(ère) ?
Pour répondre à notre problématique, nous avons dans un premier temps, élaborée un cadre théorique afin d'étayer notre question. Dans un second temps, nous avons réalisé une enquête de terrain à l'aide d'entretiens semi-directifs, afin de confronter la théorie à la pratique. Cette dernière, inclut six infirmières, un cadre infirmier, une responsable qualité du circuit du médicament et dispositifs médicaux stériles et un pharmacien clinicien. Puis, nous les avons analysés. A présent, nous pouvons dire que la prise de conscience de sa responsabilité morale devant un risque d'erreur médicamenteuse contribue à la construction des compétences de l'IDE sur le plan individuel. Cependant, les représentations des IDE sur ce risque sont un frein pour la construction des compétences sur le plan collectif.
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