PRISE EN CHARGE ; CONFUSION MENTALE ; ALZHEIMER (Maladie de) ; CAS CLINIQUE ; SITUATION DE SOINS Résumé :Comme souvent, le syndrome confusionnel survenant chez le sujet âgé est régulièrement d’origine multifactorielle. Dans ce contexte, les médecins comme les soignants doivent redoubler de vigilance, tant pour identifier les facteurs en cause que pour optimiser la prise en charge, chez des patients fréquemment agités et opposants.
Disponible sur www.em-premium.com
DEUIL ; ALZHEIMER (Maladie de) ; CAS CLINIQUE ; TROUBLE COGNITIF ; RELATION CONJUGALE ; AIDANT Résumé :Les proches vivent parfois difficilement le déclin cognitif et les troubles du comportement d’une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer. L’aide-soignante peut jouer un rôle déterminant dans le deuil blanc. Elle aide le proche à exprimer ses émotions, même négatives, à accepter les effets irréversibles de la pathologie et ensuite à adapter la communication et la relation en fonction de l’évolution des troubles.
Disponible sur www.em-premium.com
Acceptation des soins chez un patient atteint de troubles cognitifs
Croix-Rouge française - Institut Saint-Martin,2017 34 p. Afficher / Masquer
CONSENTEMENT AUX SOINS ; TROUBLE COGNITIF ; QUALITE DES SOINS ; ALZHEIMER (Maladie de) ; COMMUNICATION ; INFIRMIERE ; RELATION SOIGNANT/SOIGNE ; TRAVAIL D'EQUIPE Résumé :Ce travail de fin d’études porte sur l’acceptation des soins des personnes atteintes de troubles cognitifs, en prenant en exemple la maladie d’Alzheimer. Des difficultés sont présentes lors de la prise en charge de ces personnes, comme des difficultés de communication ou du recueil du consentement aux soins. Ceci m’a amenée à me demander : En quoi une prise en charge infirmière de qualité peut-elle favoriser l’acceptation aux soins d’un patient ayant des troubles cognitifs ?
Des recherches m’ont permis d’élaborer un cadre théorique. J’ai pu compléter et comparer ces apports par la réalisation d’entretiens semi-directifs auprès de quatre infirmiers et d’une cadre de santé.
Les résultats de l’enquête m’ont montré que le soignant se doit d’aborder le patient avec une connaissance de la pathologie, un savoir-être relationnel et de travailler en équipe. Ces éléments constituent une prise en charge de qualité pour les soignants. L’approche soignante est apparue primordiale à l’acceptation des soins du patient. De plus, une nécessité de formation sur cette approche et sur la maladie d’Alzheimer se sont dégagées.
La réflexion menée à partir de ces éléments me pose une nouvelle question ciblée sur la formation des soignants à une approche adaptée à la personne atteinte de troubles cognitifs dans le but d’une meilleure acceptation des soins : En quoi une formation sur l’approche soignante des personnes ayant des troubles cognitifs peut-elle faire basculer le refus de soins vers son acceptation par le patient ?
Egalement disponible sur Dokeos pour les étudiants Soins infirmiers.
Accompagner la personne malade et accepter de la perdre
juin 2014 JALMALV 11749-56 Afficher / Masquer
TROUBLE DE LA MEMOIRE ; ACCOMPAGNEMENT ; COMMUNICATION ; ALZHEIMER (Maladie de) ; FIN DE VIE ; SEPARATION ; RELATION FAMILIALE Résumé :La maladie d'Alzheimer confronte à un sentiment d'impuissance et de frustration permanent. La structure famille est mise en déséquilibre quand survient la dépendance cognitive et psychique d'un de ses membres, et plus encore quand il s'agit du membre fondateur. Au sein des fratries on observe un besoin de renégocier les rôles dans la famille. Le système familial doit intégrer la nouvelle figure de son parent pour se réorganiser. Parfois un sujet va attendre de sentir son entourage "prêt" à le quitter pour franchir le dernier pas.
Accompagner la vie dans le long mourir des malades d'Alzheimer
juin 2014 JALMALV 11713-21 Afficher / Masquer
SOIGNANT ; SOUFFRANCE ; COMMUNICATION ; MORT ; ALZHEIMER (Maladie de) ; FIN DE VIE ; FAMILLE Résumé :Les conséquences de la maladie aux stades évolués nous interrogent sur le concept même de fin de vie. Lorsqu'une vie n'en finit pas de finir, quel amour, quelle relation réciproque peuvent encore vivre, les familles ? Comment oublier la souffrance intime des soignants, qui partagent la vie des personnes accueillies pendant de nombreux mois ? Comment comprendre le défi de la communication "malgré tout" pour les bénévoles d'accompagnement ? Comment accompagner les familles qui manifestent le désir d'abréger les souffrances de leur malade puis qui refusent la perspective de cette mort imminente ?
Accompagner les personnes âgées psychiquement dépendantes en EHPAD
L'Harmattan,2020 148 p. Cote : 618.97-I NIC 101418 : IFSI - Cote = 618.97-I NIC101374 : IFSI - Cote = 618.97-I NIC Afficher / Masquer
ACCOMPAGNEMENT ; PERSONNE AGEE ; ETABLISSEMENT D'HEBERGEMENT POUR PERSONNE AGEE DEPENDANTE - EHPAD ; DEMENCE ; DEPENDANCE ; ALZHEIMER (Maladie de) Résumé :La dépendance psychique des personnes âgées atteintes de la maladie d'Alzheimer ou psychotiques qui vivent dans les Ehpad est d'autant plus difficile à gérer que des troubles du comportement l'accompagnent souvent : agitation, agressivité, "déambulations" , demandes incessantes, etc. A partir de situations vécues et de son expérience professionnelle, l'auteure s'emploie dans ce petit ouvrage à nous donner des pistes de réflexion pour mieux comprendre ce qui fait la spécificité de cette dépendance.
Quelques propositions concrètes formulées par l'auteure peuvent permettre au personnel de ces institutions de se sentir moins démuni et faire en sorte que ces résidents réputés difficiles ne soient plus des "laissés pour compte"
Accompagner nos semblables jusqu'au terme de leur existence
juin 2014 JALMALV 11723-34 Afficher / Masquer
DIGNITE ; COMMUNICATION ; ALZHEIMER (Maladie de) ; DESORIENTATION ; HUMANITE ; FIN DE VIE Résumé :Accompagner une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer jusqu'au terme de son existence oblige à une grande vigilance éthique. Cela suppose de ne pas disqualifier par principe la parole de la personne. cela implique aussi de reconnaître qu'aucune maladie n'a le pouvoir de faire perdre à une personne son identité ou son humanité. C'est précisément parce que cette maladie fragilise la conscience de soi, l'aptitude à prendre soin de soi-même et la faculté d'entrer en relation avec les autres, que les personnes qui en sont affectées ont tant besoin de sentir que nous ne les abandonnerons pas.