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TROUBLE COGNITIF

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Article

MAZOYER Martine

5/6 Accompagner un proche dans un deuil blanc

janvier/février 2021

SOINS AIDES SOIGNANTES
n°98 p.31-32

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DEUIL ; ALZHEIMER (Maladie de) ; CAS CLINIQUE ; TROUBLE COGNITIF ; RELATION CONJUGALE ; AIDANT

Résumé : Les proches vivent parfois difficilement le déclin cognitif et les troubles du comportement d’une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer. L’aide-soignante peut jouer un rôle déterminant dans le deuil blanc. Elle aide le proche à exprimer ses émotions, même négatives, à accepter les effets irréversibles de la pathologie et ensuite à adapter la communication et la relation en fonction de l’évolution des troubles.
Disponible sur www.em-premium.com

Travail de fin d'études

GERVASONI Aurélie

Acceptation des soins chez un patient atteint de troubles cognitifs

Croix-Rouge française - Institut Saint-Martin, 2017

34 p.

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CONSENTEMENT AUX SOINS ; TROUBLE COGNITIF ; QUALITE DES SOINS ; ALZHEIMER (Maladie de) ; COMMUNICATION ; INFIRMIERE ; RELATION SOIGNANT/SOIGNE ; TRAVAIL D'EQUIPE

Résumé : Ce travail de fin d’études porte sur l’acceptation des soins des personnes atteintes de troubles cognitifs, en prenant en exemple la maladie d’Alzheimer. Des difficultés sont présentes lors de la prise en charge de ces personnes, comme des difficultés de communication ou du recueil du consentement aux soins. Ceci m’a amenée à me demander : En quoi une prise en charge infirmière de qualité peut-elle favoriser l’acceptation aux soins d’un patient ayant des troubles cognitifs ?
Des recherches m’ont permis d’élaborer un cadre théorique. J’ai pu compléter et comparer ces apports par la réalisation d’entretiens semi-directifs auprès de quatre infirmiers et d’une cadre de santé.
Les résultats de l’enquête m’ont montré que le soignant se doit d’aborder le patient avec une connaissance de la pathologie, un savoir-être relationnel et de travailler en équipe. Ces éléments constituent une prise en charge de qualité pour les soignants. L’approche soignante est apparue primordiale à l’acceptation des soins du patient. De plus, une nécessité de formation sur cette approche et sur la maladie d’Alzheimer se sont dégagées.
La réflexion menée à partir de ces éléments me pose une nouvelle question ciblée sur la formation des soignants à une approche adaptée à la personne atteinte de troubles cognitifs dans le but d’une meilleure acceptation des soins : En quoi une formation sur l’approche soignante des personnes ayant des troubles cognitifs peut-elle faire basculer le refus de soins vers son acceptation par le patient ?

Egalement disponible sur Dokeos pour les étudiants Soins infirmiers.

Article

MANCKOUNDIA Patrick, DIPANDA Mélanie, MOUREY France

Activité physique chez le sujet âgé atteint d'un trouble neurocognitif majeur

septembre-octobre 2022

SOINS GERONTOLOGIE
157 37-40

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ACTIVITE PHYSIQUE ; TROUBLE COGNITIF ; ALZHEIMER (Maladie de) ; RECHERCHE ; REEDUCATION

Résumé : Durant des décennies, la littérature a été sceptique sur la faisabilité d’une rééducation motrice et sur son impact tout comme sur celui de l’activité physique (AP) chez les sujets atteints de trouble neurocognitif majeur (TNCM), dont la maladie d’Alzheimer. Désormais, des auteurs rapportent plusieurs bénéfices de l’AP, physiques et cognitifs, en ce qu’elle favorise la perfusion cérébrale, la neurogenèse et la plasticité synaptique, et diminue le stress oxydatif et l’inflammation. L’AP devrait être recommandée en cas de TNCM. Résumé de l'auteur-éditeur

Disponible sur EM Premium

Article

MOUREY France, RUFFINO Celia, MANCKOUNDIA Patrick

Activité physique chez le sujet âgé atteint d'un trouble neurocognitif majeur (2/2)

novembre-décembre 2022

SOINS GERONTOLOGIE
158 35-38

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ALZHEIMER (Maladie de) ; ACTIVITE PHYSIQUE ; TROUBLE COGNITIF ; REEDUCATION

Résumé : Une meilleure connaissance des troubles neurocognitifs majeurs et de l’apprentissage moteur permet de proposer une rééducation motrice (RM) adaptée aux sujets souffrant d’une maladie d’Alzheimer. Des données neuroscientifiques récentes sur les fonctions et la cognition motrices permettent d’envisager la construction de programmes d’activité physique et de RM, dont la relation dose-réponse, le contenu et les consignes sont des facteurs déterminants. D’autres études sont nécessaires pour conforter l’efficacité des méthodes utilisées. Résumé de l'auteur-éditeur

Disponible sur EM Premium

Article

COLLECTIF

Actualités cliniques et thérapeutiques dans les démences

2004

NPG Neurologie - Psychiatrie - Gériatrie
N° 23 sept-octobre 2004 pp 26-32

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TROUBLE COGNITIF ; PERSONNE AGEE ; DEMENCE ; THERAPEUTIQUE ; PREVENTION ; ALZHEIMER (Maladie de) ; COMPORTEMENT

Article

COELHO Camille

Addictions et remédiation cognitive

octobre 2018

SANTE MENTALE
n°231 p.68-72

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REMEDIATION COGNITIVE ; ADDICTION ; CAS CLINIQUE ; ALCOOLISME ; TROUBLE COGNITIF ; DEPISTAGE ; CONSULTATION INFIRMIERE

Résumé : En addictologie, la neuropsychologie et la remédiation cognitive peuvent être intégrées à la prise en charge globale. Les troubles cognitifs sont en effet très souvent présents dans les addictions, de façon parfois réversibles et peuvent donc être traités avec ces outils. A partir d'un cas clinique, cet article explore les fonctions atteintes dans les addictions et propose quelques repères pour la pratique.

Article

MENECIER Pascal

Alcool, vieillissement et cognition

novembre 2017

AIDE-SOIGNANTE
n°191 p.20-22

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ADDICTION ; ALCOOL ; ALCOOLISME ; VIEILLISSEMENT ; PERSONNE AGEE ; RISQUE ; VULNERABILITE ; TROUBLE COGNITIF

Résumé : L’avancée en âge n’empêche ni le mésusage d’alcool ni la souffrance alcoolique. Être âgé fragilise et rend vulnérable aux effets de l’alcool. L’alcool ne prévient ni ne soigne les maladies mais les aggrave. La consommation d’alcool, d’autant plus si elle est associée à des prises médicamenteuses, altère le fonctionnement mental et la cognition. Une offre de soins en alcoologie est possible, utile et bénéfique aux personnes âgées présentant un mésusage d’alcool, à tous les âges de la vieillesse, à domicile comme en établissement.
Résumé auteur-éditeur
Disponible en ligne sur www.em-premium.com

Article

LAMBERT Philippe

Alzheimer : diagnostic fourre-tout

mars-avril-mai 2018

SCIENCES HUMAINES Les grands dossiers
n°50 p.46-47

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ALZHEIMER (Maladie de) ; DIAGNOSTIC ; CONCEPT ; CLINIQUE ; TROUBLE COGNITIF ; PERSONNE AGEE ; NEUROBIOLOGIE ; PSYCHOPATHOLOGIE

Résumé : Un diagnostic incertain et fourre-tout, des profils cliniques bien plus divers que ce qui est enseigné dans les manuels... A travers le monde, plusieurs spécialistes jettent un pavé dans la mare : et si le concept d'Alzheimer n'était pas valide ?
Résumé auteur-éditeur

Article

DEROUESNE C, CROISILE B, et al.

Alzheimer et troubles cognitifs

2009

SANTE MENTALE
n° 137 avril 2009 pp 25-81

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TROUBLE COGNITIF ; PSYCHOPATHOLOGIE ; CONSCIENCE ; ACCOMPAGNEMENT ; NEUROLOGIE ; DEMENCE ; MEMOIRE ; THERAPEUTIQUE ; PRISE EN CHARGE ; MEDICAMENT ; ECOUTE ; RELATION SOIGNANT/FAMILLE ; TROUBLE DU COMPORTEMENT ; DROIT DU PATIENT

Résumé : Maladie d'Alzheimer : une approche des troubles cognitifs.
La mémoire : du vieillissement normal à la maladie d'Alzheimer.
Démences et cognition social.
Maladie d'Alzheimer et interventions sur la cognition.
La question de la stratégie thérapeutique.
Une entrée insidieuse dans la maladie...
Troubles mnésiques et émotions.
Conscience des troubles et maladie d'Alzheimer.
"Les 80 ans de ma mère".
Guider les aidants.
La loi, quand la raison s'échappe.
La maladie d'Alzheimer : problèmes philosophiques.

Article

MONFORT Jean-Claude

Alzheimer, pour une communication en appui sur les symptômes

mars 2020

SANTE MENTALE
n°246 p.56-63

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ALZHEIMER (Maladie de) ; COMMUNICATION ; RELATION SOIGNANT/SOIGNE ; SYMPTOME ; TROUBLE COGNITIF ; TROUBLE DU COMPORTEMENT

Résumé : La maladie d'Alzheimer va avec son lot d'obstacles à la communication. Pour les dépasser, il faudrait remettre cette maladie à la place où elle aurait dû rester : un syndrome d'Alzheimer. Ainsi nommée, la voie devient moins difficile pour une communication centrée sur l'adaptation aux symptômes liés aux baisses cognitives. Le deuxième obstacle à franchir est celui des autres symptômes "non cognitifs". Ces symptômes déconcertants peuvent être identifiés et mesurés grâce à un instrument simple permettant d'aller au-delà d'une prise de température. La circulation de la parole et la réflexion en équipe permettent de savoir ce qu'il ne faut pas faire. Elle permet surtout de construire des attitudes appropriées sur mesure. Les symptômes ayant été désamorcés, la communication peut alors s'ouvrir sur le meilleur, de la simple diversion flash jusqu'au divin dans l'humain : la création et l'art-thérapie.

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TROUBLE COGNITIF

146

PERSONNE AGEE

ALZHEIMER (Maladie de)

DEMENCE

PSYCHIATRIE

Type de document

Article

136

Ouvrage

Travail de fin d'études

Multimédia

Date d'édition

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