Résumé :-Les besoins de l'enfant porteur de handicap
-Les freins à l'intégration
-Les pratiques de terrain dans l'accompagnement d'un enfant porteur de handicap (travail en réseau, travail en équipe, le référent, le partenariat, l'aménagement de l'espace, l'intervention des équipes de soin, langage, motricité...)
-Le travail avec les parents
Résumé :La motricité est l’ensemble des mouvements volontaires et involontaires du corps. De la motricité encouragée par les structures motrices à la motricité fine répétée par les mouvements quotidiens, c’est tout un champ de compétences à définir.
Résumé :Connaître les compétences des jeunes enfants permet de traouver des réponses plus adaptées à l'accompagnement au quotidien. Cela devrait être un prérequis à tous les métiers de la petite enfance. Ce dossier propose donc un éclairage pluridisciplinaire pour réfléchir aux pratiques professionnelles en adéquation avec ces compétences identifiées et ainsi partager et développer des outils d'intervention pédagogique.
-Besoins et compétences du très jeune enfant pp. 8-10
-Les compétences psychomotrices de l'enfant de sa naissance à 3 ans pp. 11-13
Résumé :L'enfant en bonne santé développe, de sa naissance à 3 ans, de multiples compétences psychomotrices. Une liste non exhaustive est présentée où chaque item s'affine en lien avec les autres en interdépendance.
Résumé :Le mouvement est indispensable à la bonne santé du corps, quel que soit l'âge. L'utilisation des structures motrices développe de nombreuses capacités chez l'enfant, comme la coordination des membres, l'appréhension de son schéma corporel, le repérage dans l'espace ou l'équilibre. C'est également un lieu d'aventure qui permet à l'enfant d'éprouver diverses émotions, positives comme négatives, et de socialisation, avec d'éventuels conflits à résoudre. Le professionnel est garant de la bonne installation de ces structures et de la sécurité offerte aux enfants qui l'utilisent. À l'initiative de l'activité, il régule, rassure, encourage, et ne contraint jamais, tout en posant un cadre sécuritaire et socialisant.
Résumé :Conjuguer la motricité libre et les besoins d’un bébé qui ne peut pas encore changer de position ni se déplacer semble compliqué. En effet, se mouvoir en liberté ne signifie pas être seul. La motricité libre n’a de sens que si elle s’inscrit dans une démarche plus globale d’accompagnement de l’enfant dans son développement. Elle suppose des conditions favorables à son exercice. [Résumé auteur-éditeur]