Bilan et propositions de réformes de la loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé
Ministère du Travail, de l'Emploi et de la Santé,2011 309 p. Cote : 340 CER Texte intégral 100689 : IFSI - Cote = 340 CER Afficher / Masquer
SECURITE SANITAIRE ; CONSENTEMENT AUX SOINS ; DROIT DU PATIENT ; DOSSIER MEDICAL ; INFORMATION ; FIN DE VIE ; DOULEUR Résumé :Le 4 mars 2011 nous rentrerons dans la dixième année de la loi des droits des malades. En 2002, le corps médical n’a pas compris immédiatement le sens de cette loi, les médecins l’ont prise comme une remise en cause de leurs pouvoirs et de leurs prérogatives. Ils n’avaient pas compris qu’en rééquilibrant la relation médecin-malade, il n’affaiblissait pas l’autorité médicale mais il transférait une part de cette autorité sur le malade, lui imposant ainsi des devoirs.
Notamment, celui d’être en capacité de gérer son capital santé, celui de s’approprier le traitement pour le rendre plus efficace, celui de respecter un système de santé en acceptant des parcours de soins. Dès lors que le
malade, une fois responsabilisé, devenait l’acteur principal de sa santé, il pouvait prétendre à être associé à la politique de santé du pays. Aujourd’hui, il paraît légitime de reposer un regard sur la façon dont cette loi s’est imposée dans notre pays. Il s’agit de s’assurer de son effectivité et
du niveau de connaissance qu’en ont les Français.
Il s’agit donc de rentrer maintenant dans les détails de lamise en oeuvre de la loi Kouchner car derrière ces détails peuvent se cacher des difficultés de mise en oeuvre particulières, des immobilismes inacceptables, des conflits d’intérêts inavoués, des oublis législatifs malheureux
Juin 2012 ACTUALITE ET DOSSIER EN SANTE PUBLIQUE 7923-25 Afficher / Masquer
SECURITE SANITAIRE ; EVENEMENT INDESIRABLE ; RISQUE Voir aussi le site Résumé :On estime que 10% des patients hospitalisés sont victimes d'un évènement indésirable grave. 50% de ces évènements sont évitables. Cette situation ne s'améliore pas depuis une dizaine d'années et la confiance des usagers décroît.